Leadership ou organisation de l'entreprise mondiale ?

"Le jardinier compte autant que le jardin", c'est par ces mots que l'on inocule le besoin narcissique chez un dirigeant d'entreprise de s'étendre ou d'amplifier une croissance par le biais de nouveaux marchés, sur le monde.

Pour appuyer les dires, on vient vous relater l'existence d'Alexandre Le Grand, fils de ZEUS, qui par sa formation, l'influence et le coaching de sa mère ont développé ses qualités physiques, mentales et morales afin de vous inciter à rentrer dans le jeu.

Pour cela, on soulève les cinq caractéristiques des champions de la performance, par le biais de "l'institute for corporate productivity" qui se décomposent comme suit:
-La stratégie qui se réfère à la cohérence, à la communication et aux biens pensées (?).
-Le leadership qui décline une clarté, une justesse et une orientation sur le talent.
-Le talent soit l'engagement envers les bons talents (?).
-La culture qui prône l'entreprise au point que les employés estiment plus qu'ailleurs, une organisation donc une bonne place.
-Le marché instaurant une forte concentration sur le marché en allant au delà des attentes de leurs clients.

Mais pour cela, on met en place, non seulement des cabinets d'études en matière géopolitique, technique et stratégique mais aussi d'extrapolations pluridisciplinaires qui déposent une résultante à une centrale d'achat & de vente plus ou moins mondiale.

En clair, on repère un pays comme la France (pour exemple), où se trouve, soit une entreprise, soit un parterre de conditions enviables à une installation pour produire une pièce, une voiture ou autres, par et sous le renfort d'une publicité journalière. Puis la médiatisation étant et la qualité du travail du français (reconnue dans le monde entier), il n'y a plus qu'à faire pression (selon la taille de l'entreprise) pour se procurer une aide exceptionnelle perpétuelle auprès des instances du canton, du département, de la région, de la nation, de l'Europe...Par absence, faisant partie d'un consortium en tant que franchisé ou pas, l'investisseur se retire en refourguant l'entreprise en question à un de ses partenaires qui se voit racheter à moindre frais l'entreprise moyennant une contribution au consortium qui lui partage le bénéfice.
Pendant ce temps, la mise en cotation (en bourse) peut se faire une frayeur sur la solvabilité (ce qui n'est pas perdue pour tout le monde).

Ne vous inquiétez pas, on crée un besoin mais on ne connaît pas le besoin du client, heureusement ! Tant est si bien que des entreprises coulent purement et simplement au grand dam des investisseurs.

Par contre, ce qui est grave, c'est que maintenant on se permet de créer des leurres. Des choses qui n'existent pas, mais que l'on vous vend comme une denrée périssable. La résultante provoque des catastrophes comme les "subprimes".

Que faire ? Cesser une consommation active ? Se replier sur soi-même ? Les dirigeants du monde entier ne peuvent rien faire alors, il serait prétentieux de vous proposer une solution...

Robert Paris.